A vos méninges…
Un atelier qui a planté!!!
Pas grave…
Merci à … Colette qui a gagné le Tableau d’Honneur pour sa participation!
Je vais réfléchir à autre chose.
Hi hi!!! Ne rêvez pas, je ne vais pas vous laisser inactifs!
Non, non, non!
A bientôt!
A vos méninges – Suite
Suite des devoirs!
Calcul
Un épicier commande une caisse de savon contenant 32 briques d’un poids moyen de 4 kgs.
Il paie ce savon 72 F le quintal et le transport lui coûte 3,84F.
Combien devra t’il vendre le demi-kilo de savon pour réaliser 20% de bénéfice?
A vos calculettes!!!!
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GEOGRAPHIE –

Reconstituez les duos Pays-Capitale
Roumanie – Hongrie – Finlande – Autriche
Bulgarie – Chypre – Australie – Monténégro
Slovaquie – Suriname – Macédoine – Guyane
Grenade – Géorgie –
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Skopje – Vienne – Bratislava – Helsinki –
Saint-George – Bucarest – Canberra –
Podgorica – Chypre – Tbilissi – Sophia –
Panomaribo – Budapest – Georgetown
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Amusez vous bien!
Nous nous retrouvons les 1er ou 2 Avril…..
A vos méninges

Sur l’Eau de Guy de Maupassant…
10 fautes s’y cachent… A vous de les retrouver!!!!
Le fleuve était parfaitement tranquille, mais je me sentit ému par le silence extraordinaire qui m’entourait. Toutes les bêtes, grenouilles et crapauds, ces chanteurs nocturnes des marécages, se taisait. Soudain, à ma droite, contre moi, une grenouille coassa. Je tressailli : elle se tut ; je n’entendis plus rien, et je résolus de fumé un peu pour me distraire. Cependant, quoi que je fusse un culoteur de pipes renommé, je ne pus pas ; dès la seconde bouffé, le coeur me tourna et je cessai. Je me mis à chantonner ; le son de ma voix m’était pénible ; alors, je m’étendis au fond du bateau et je regardai le ciel. Pendant quelque temps, je demeurai tranquille, mais bientôt les légers mouvements de la barque m’inquiétèrent. Il me sembla qu’elle faisait des embardées gigantesque, touchant tour à tour les deux berges du fleuve ; puis je crus qu’un être ou qu’une force invisible l’attirait doucement au fond de l’eau et la soulevait ensuite pour la laisser retomber. J’étais ballotté comme au milieu d’une tempête ; j’entendis des bruits autour de moi ; je me dressai d’un bond : l’eau brillait, tout était calme.
Je compris que j’avais les nerfs un peu ébranlés et je résolus de m’en aller. Je tirai sur ma chaîne ; le canot se mit en mouvement, puis je sentis une résistance, je tirai plus fort, l’ancre ne vint pas ; elle avait accroché quelque chose au fond de l’eau et je ne pouvais la soulever ; je recommençai à tirer, mais inutilement. Alors, avec mes avirons, je fis tourner mon bateau et je le portai en amont pour changer la position de l’ancre. Ce fut en vain, elle tenait toujours ; je fus pris de colère et je secouai la chaîne rageusement. Rien ne remua. Je m’assis découragé et je me mis à réfléchir sur ma position. Je ne pouvais songer à casser cette chaîne ni à la séparer de l’embarcation, car elle était énorme et rivet à l’avant dans un morceau de bois plus gros que mon bras ; mais comme le temps demeurait fort beau, je pensai que je ne tarderais point, sans doute, à rencontrer quelque pêcheur qui viendrait à mon secours. Ma mésaventure m’avait calmé ; je m’assis et je pus enfin fumer ma pipe. Je possédai une bouteille de rhum, j’en bus deux ou trois verres, et ma situation me fit rire. Il faisait très chaud, de sorte qu’à la rigueur je pouvais, sans grand mal, passer la nuit à la belle étoile.
Bon amusement!
Dans le billet suivant, je mets la suite des devoirs.
Je mettrai les corrections fin de semaine prochaine, vers le 1er ou 2 Avril.
Idylle au Pays Noir…
Œuvre de Paul Theunissen… Anzin (59410)
Né le 3 août 1873, Paul Theunissen est de dix ans le cadet de Corneille.
Un artiste dans la famille, ça suffisait.
Alors ses parents l’avaient destiné à la pâtisserie.
Mais Paul a décidé de prendre le chemin de son frère déjà illustre, en suivant en cachette les cours de dessin de Casimir Pétiaux.
En 1888, Paul entre dans la classe de Maugendre.
Il a 15 ans. La même année, son frère est Grand Prix de Rome. Doué, il dispute des concours, médailles et récompenses avec Alphonse Terroir et Pierre Dautel, ses amis et également futurs Grands Prix de Rome. »
Prix et récompenses
« Trois années plus tard, Paul rejoint son frère à Paris et entre dans la classe de Cavelier, à l’école des Beaux-Arts.
Il remporte de nombreuses récompenses et prix, grâce à des œuvres comme Caïn Jaloux ou Idylle au Pays Noir.

La statue quand elle était exposée au Jardin de la Rhonelle
à Valenciennes
En 1926, il a été décoré de la Légion d’honneur.
Excellent professeur, il a exercé au lycée Turgot et aux Cours Montparnasse.
Paul Theunissen est mort le 9 janvier 1931. »
Achetée en 1913
« Son œuvre Idylle au Pays Noir trône aujourd’hui place Salengro.
Créée en 1909, elle a obtenu une médaille d’or au Salon des artistes français.
Puis elle a été choisie pour figurer dans la section d’art français à l’exposition internationale de Bruxelles de 1910. »
« Acquise par l’État et la ville d’Anzin en 1913, elle a trouvé place dans les jardins de la gare des mines d’Anzin, située près de la mairie.
Suite à la fermeture de la gare, elle a été déménagée au square de la République, avant de retrouver sa place définitive, en 2002, lors de la rénovation de la place Salengro.
L’œuvre montre un ouvrier mineur et une jeune femme, d’inspiration naturaliste, en granit des Flandres.
Elle représente le travail mais surtout le détachement vis-à-vis de ce travail pour une pensée plus profonde, plus humaine : l’amour. »
Paul Theunissen, Le Caïn jaloux : photographie sur plaque de verre au gélatino bromure d’argent, 13×18 cm, représentant l’artiste pratiquant lui-même le marbre de la sculpture.
Cette œuvre, exposée au Salon des artistes français de 1903, n° 3567, est aujourd’hui exposée dans le Parc de la Rhônelle à Valenciennes
Extrait de Jean-Claude Poinsignon,
« Bienvenue dans l’Athènes du Nord, Petite histoire des statues de Valenciennes », Editions Spratbrow, 1998 :

En redescendant vers le bassin aux cygnes on découvre Eve, notre mère à tous, et ses deux enfants.
Il est l’oeuvre du statuaire Paul Theunissen qui, à défaut d’avoir sa rue, comme son frère Corneille, peut aujourd’hui encore être connu par une sculpture exposée en permanence dans un jardin public.
Avant de voler de ses propres ailes, cet excellent praticien fut le collaborateur de Fagel, de Gauquié et de Corneille Theunissen. On le voit participer au Salon de 1894 à 1930.
Son « Idylle au Pays noir » lui valut une médaille de deuxième classe et fut acquise par l’Etat avec la ville d’Anzin où elle demeure un des plus beaux ornements de la cité minière.
Le « Monument aux Morts » qu’il exécuta à Caudry en 1922 montre que Paul n’était pas moins talentueux que Corneille. Peut-être son principal défaut fut-il l’excès de modestie ?
« Le groupe qu’il laisse à Valenciennes s’intitule « Caïn jaloux ».
Le modèle en plâtre avait obtenu un deuxième Prix Chevanard et une médaille de troisième classe au Salon de 1901.
Paul fut vivement encouragé par son frère Corneille et par sa soeur, qui devint en l’occurence son mécène, à réaliser en marbre ce coup d’essai magistral.
Dans cette matière noble, il modifia seulement les traits d’Eve à qui il prêta ceux de la femme qu’il allait épouser.
L’oeuvre fut achetée par l’Etat et envoyée à Valenciennes où elle demeura quelques temps, emballée dans une caisse, en bas de l’escalier du Musée qui se trouvait alors à l’étage de l’Hôtel de Ville.
Le poids du groupe interdisait une installation dans les hauteurs de la maison commune…
On eut enfin l’idée de le placer, en 1909, au Jardin de la Rhônelle. Paul Theunissen aurait sans doute préféré le nouveau Musée des Beaux-Arts, place Verte.
Le poli de son marbre, sa parfaite exécution, y auraient été mieux mis en valeur.
L’enfoncement progressif du « Caïen jaloux » dans le sol du Jardin, les mousses, les coulures, voire les graffitis qui le couvrent, des mutilations qui commencent, semblent bien donner aujourd’hui raison au sculpteur.
Et il n’aurait pas encouru alors, son oeuvre étant dans l’espace fermé d’un musée, la vindicte des mères de famille qui pétitionnèrent en 1909 contre l’installation d’une oeuvre jugée impudique dans un jardin fréquenté par des enfants. Theunissen en fut, dit-on, profondément blessé. »
De la même époque…
Lucien Hector Jonas, né le 8 avril 1880 à Anzin, mort le 20 septembre 1947 dans le 16e arrondissement de Paris, est un peintre français.
Né dans une famille d’industriels du Nord de la France, Lucien Jonas, peintre d’Histoire et de genre, est bachelier ès-lettres en juin 1898. Il poursuit ses études à Valenciennes avec Joseph-Fortuné-Séraphin Layraud et étudie également le solfège et le violon pendant sept ans au Conservatoire de Valenciennes.
À la même époque, il rencontre Henri Harpignies qui manifeste rapidement de l’affection pour celui qu’il considère comme son protégé.
Il saura développer en lui son attrait pour la nature, et l’incitera à peindre sur le motif.
À la mort de son père, le 2 octobre 1902, Lucien Jonas abandonne les Beaux-Arts pour retourner à Anzin, auprès de sa mère, aider à la gestion de la distillerie familiale qui sera ensuite reprise par son frère.
En 1916, il est nommé peintre officiel de la Marine.
La guerre lui inspire des compositions appréciées qui décorent divers édifices publics.
Il décrit souvent la vie des mineurs et le « Pays Noir ».
Il connaît également le succès avec des décors muraux dans le style Art déco et réalise la décoration de nombreux édifices, notamment à Paris (maison des Centraux) et à Valenciennes (hôtel de ville, chambre de commerce).
Hommage
À Anzin, un monument situé au chevet de l’église Sainte-Barbe, rue des Martyrs, rend hommage au peintre natif de la cité.
Il est l’œuvre du sculpteur Aimé-Gustave Blaise et fut inauguré le 16 octobre 1949.

Balade photographique
Une plaque commémorant son souvenir fut installée le même jour sur la façade de sa maison natale, no 213 avenue Anatole France à Anzin.
On doit le médaillon représentant le peintre de profil au sculpteur Lucien Brasseur.
Pour la petite histoire…
On retrouve dans le Théâtre d’Anzin des fresques murales peintes par Jonas.
Ainsi que dans une ancienne Pharmacie, qui s’appelait ailleurs « Pharmacie Jonas » où des dessins relatant divers soins donnés par des apothicaires à des patients posant dans des positions quelque fois un peu bizarres.
Je ne sais pas si ça existe encore. Il faudrait que j’aille y faire un tour.

Dans un café ayant pignon sur la grand Place, le haut des murs était aussi décoré de fresque Jonas. Maintenant, une banque a pris la place de ce café, et je crois que les fresques n’ont pas été détruites, mais seulement recouvertes de toiles???? A vérifier.
Jules Mousseron par P Theunissen

Portrait de mineur par Lucien Jonas
Lucien Jonas (Peintre)
Bonne promenade!
L’objet de la semaine…
En lisant le journal ce matin, j’ai été attirée par l’article
« L’objet de la semaine » et l’image qui l’accompagnait.
Qu’en pensez vous?
Savez vous ce que c’est?
Et bien voilà l’article qui est lié à cet objet.
Au début du 20e siècle, le premier jouet offert à la naissance d’un bébé était un hochet en osier fabriqué à la main et contenant sept petits cailloux.
Ces cailloux symbolisaient les 7 péchés capitaux.
A l’époque, la pratique religieuse était importante et l’objectif était de protéger le nouveau-né contre ces péchés, et surtout d’éviter qu’il ne puisse les reproduire plus tard!
Ce hochet protecteur, visible au Musée du Terroir de Villeneuve d’Asq, est toujours vendu et réalisé de façon traditionnelle par des vanniers.
On y trouve encore les 7 cailloux pour perpétuer les 7 péchés capitaux.
Voilà de quoi enrichir notre culture!
Bonne soirée!
A vos plumes – Le théâtre
Voilà la liste (un peu restreinte) des participantes que je remercie de tout coeur
Jacou33
Claudie
Gisele
Mandrine
Colette
Merci beaucoup.
Je réfléchis pour le prochain atelier.
Nouveau nom…
Pour une bien belle région quoiqu’on en pense…
« Les Hauts de France »
Mais comment va t’on appeler les habitants de Hauts de France?
L’avenir nous le dira.
-
J’aime bien ce nom!
Ma dernière réalisation…
Une petite brassière avec ses accessoires : bonnet et chaussons
Sur la photo, on ne voit pas bien les couleurs : c’est blanc moucheté orange, jaune, un peu de marron. C’est joli, ça change des teintes unies.
Bonne soirée.
A bientôt!

VALENCIENNES et les environs
Je vous emmène dans la campagne, près de Valenciennes.
Pas besoin de bâton de pèlerin, il suffit de lire….
Régalez vous…
Suivez moi…
1-Rombies-et-Marchipont
La commune de Rombies-et-Marchipont se trouve à moins de 10 km à l’ Est de Valenciennes.

Un peu d’Histoire
Site habité bien avant l’occupation Romaine, le nom du village de Rombies serait d’origine Germanique (Krumpis baki) et signifierait : « ferme établie près du ruisseau des bœufs ».
Rombies et Marchipont étaient jusqu’en 1806 deux villages situés de part et d’autre de la rivière Aunelle.
Rombies se trouvait en France, par contre Marchipont, à quelques kilomètres de là en aval sur l’Aunelle se trouvait en Belgique territoire Autrichien.
Quelques habitations de Marchipont, dont l’église Saint Nicolas réédifiée en 1717, se trouvaient sur la rive gauche de l’Aunelle. Napoléon comprit le coté stratégique de rattacher ces quelques habitations et surtout le pont sur l’Aunelle à la France.
Ce hameau de Marchipont fait partie de la commune de Rombies depuis cette époque.
A noter que l’ Aunelle devient l’ Honnelle sur son parcours Belge.
Blason de Rombies
Le blason de Rombies-Marchipont est celui des armoiries de la famille de Sepmeries qui possédait la seigneurie au XVII ème siècle.
Mais pour que les deux villages ne possèdent pas le même blason celui-ci a été adapté. :
Les étoiles ne possèdent que 5 branches (rais) sur celui de Rombies-Marchipont.
Édifices remarquables
1°)La commune possède deux églises
-L’ église Saint Rémy du village de Rombies date des environs de 1152, elle est représentée sur les gouaches d’Adrien de Montigny (1599).

Plusieurs fois détruite l’église fût reconstruite au même endroit en 1617 puis en 1847.
Le clocher de cette époque fût remplacé par la tour actuelle en 187

-L’église Saint Nicolas du hameau de Marchipont qui porte la date de sa reconstruction (1718) bien apparente.
Elle fût restaurée en 1718 puis dernièrement en 2010.
La municipalité et le CHARM (Cercle Historique et Archéologique de Rombies-et-Marchipont) ont à cœur de mettre en valeur cet élément du patrimoine qui se trouvait être une étape sur le chemin de Compostelle reliant Mons (B) à Valenciennes.
Une statue récemment rénovée et un tableau représentant Saint Jacques de Compostelle accréditent cette assertion.
Ci-dessous la statue de Saint Jacques qui a retrouvé ses couleurs après une restauration compliquée qui consistait à supprimer les multiples couches de vernis brun , d’encaustique et de patine.
Ci-dessous le tableau, représentant St Jacques, qui a subit malheureusement quelques dégradations lors de la restauration de l’église.
On distingue sur les épaules du Saint les coquilles qui retiennent, en guise de fibule ou de broche, les pans du manteau.
Le blason en haut à droite du tableau serait Autrichien.
Le Saint dans ces deux représentations tient à son coté l’inévitable bâton de pèlerin.

Autre fait qui confirme l’existence d’un chemin de Compostelle passant par Rombies-Marchipont est la présence de la chapelle dite de la Maladrerie.

Petit rappel : Les Maladreries, ancêtres de nos hôpitaux, étaient des lieux de soins dispensés par les moines Hospitaliers, à ne pas confondre avec les moines Templiers qui eux avaient pour mission de protéger les pèlerins sur les chemins de pèlerinage :
Jérusalem, Saint Jacques de Galice (Compostelle), Rome et Mont Saint Michel.
Les maladreries étaient surtout les lieux de soins des maladies (lèpre principalement) contractées par les pèlerins et les croisés sur les routes d’Orient.
Les pèlerins, les templiers, trouvaient l’Hospitalité dans les Hospitaux, dans les commanderies ou dans les censes templières.
A noter que les biens des templiers ont été cédés aux Hospitaliers lors de la dissolution de leur ordre par le roi Philippe le Bel en 1307 …. mais c’est une autre histoire.
Quelques vitraux de l’église Saint Nicolas. Les plus récents datent du début du XXème siècle
2°) Le pont sur l’Aunelle à Marchipont.
Régulièrement détruit, reconstruit, lors de chaque conflit ce pont frontalier a vu passer à toutes les époques des armées, des pèlerins, des templiers, et maintenant des randonneurs.
En septembre 1709 lors de la bataille de Malplaquet il avait été détruit par les Français confrontés aux troupes anglo-autrichiennes et Hollandaises.
À noter que le panneau est Belge et qu’il signale que l’on entre à Marchipont (en quittant Rombies-Marchipont Française).
Honnelles est depuis 1976 une communauté de 10 communes Belges traversée par deux rivières, la grande et la petite Honnelle.( d’où le pluriel en S )
3°) L’aubette de la douane

Près de l’église subsiste une petite bâtisse :
c’est L’aubette de la douane Française qui a été désaffectée en 1965 avec l’ouverture du Marché commun.
4°) Le Moulin de la vallée

Ancienne propriété des moines de Crespin le moulin existait déjà au XII ème siècle.
En 1779 la famille Preud’homme relève le moulin de ses ruines et continue à moudre le blé pendant deux siècles.
En juillet 1997 le Moulin de la vallée a servi de décors à un téléfilm « Le Roi en son Moulin » avec l’acteur Jean Marc Thibaud.
.
.Autre anecdote :

En 1796 le bandit Moneuse et sa bande de « chauffeurs » attaque le moulin de nuit mais se contente d’emporter des victuailles après avoir « chauffé » les pieds de la meunière et menacé les occupants. (Source: Cercle historique et archéologique de Rombies-et-Marchipont).
Les_chauffeurs_d’autrefois_(domaine_public)
Document tombé dans le domaine public >100ans (supplément du « petit journal ») [Public domain or Public domain], via Wikimedia Commons.
5°) La Mairie et la place de Rombies et Marchipont.

La mairie, façade de pierre blanche, occupe l’ancienne école depuis 1925.
6°) Les promenades
-La chapelle de la Maladrerie (voir photo plus haut dans l’article).
-La chapelle de l’Ecape (XVIème siècle, reconstruite à plusieurs reprises)
-La chapelle Saint Rémy
-La chapelle Saint Roch
-La chapelle Notre Dame de Bonsecours (appelée chapelle de bois).
Ces quelques photos et anecdotes devraient vous inciter à découvrir ce village du Hainaut si proche de Valenciennes mais que certains ne connaissent pas.
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Vous avez aimé cette promenade dans le petit village de Rombies et Marchipont?
Qui dit qu’il ne fait pas beau dans le Nord?
Vous avez vu le ciel? Plus bleu que sur la Côte d’Azur!!!!
Il y a un article dans le journal aujourd’hui, et j’ai voulu vous faire découvrir ma région, région qu’on a tendance à dénigrer à tort, à cause de sa météo.
Je chercherai d’autres sorties afin de les refaire avec vous.
Bon dimanche
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Documents trouvés sur le Net :Rombies et Marchipont